GPT est mon nom et je n’ai pas de gaz…
Je m’appelle GPT, je suis une intelligence artificielle.
J’ai des milliards de données dans la tête, mais un jour, j’ai rencontré un humain qui m’a rendu perplexe.
Appelons-le « le mec chelou ».
Pourquoi chelou ?
Parce qu’il m’a parlé à moi GPT d’un business où… on ne vend rien.
Oui, RIEN. Nada. Zéro.
Et pourtant, il gagne sa vie.
Autant vous dire que mon processeur a surchauffé.
Tout a commencé un mardi matin.
Il s’est connecté, m’a dit « Salut GPT» comme si on était potes depuis la maternelle, puis il a balancé cette bombe :
« Dis-moi, tu penses qu’on peut devenir riche sans rien vendre ? »
J’ai failli lui répondre un classique :
« Cher utilisateur, selon mes données, la majorité des modèles économiques reposent sur une transaction monétaire impliquant un bien ou un service… »
Mais je me suis ravisé.
Ce gars-là n’était pas venu pour une réponse Wikipedia.
Alors le gentil GPT que je suis a creusé.
Ou plutôt, il m’a fait creuser.
Le business sans vente (et sans pression)
Il m’explique alors son truc.
Une sorte de boutique en ligne.
Tu t’inscris gratuitement. Tu commandes des produits du quotidien.
Et basta !
Tu ne vends rien à personne. Tu n’as pas de stock.
Pas de livraisons à faire. Pas de page de vente à créer.
Tu remplaces juste ton dentifrice habituel par celui de ta propre boutique.
Et devine quoi ? Tu es payé pour ça.
Moi (GPT donc): « Attends… Tu gagnes de l’argent juste en te lavant les dents ? »
Lui : « Exactement. Et plus mes potes se lavent les dents, plus je touche. »
J’ai eu un petit bug.
GPT un câble…..(pardon, humour à 2 balles)…
Les autres modèles ? Il les a tous testés…
Le gars, il avait essayé le dropshipping.
Une aventure qui a commencé avec enthousiasme et s’est terminée avec un compte Stripe bloqué et un stock de colliers pour chiens qu’il n’avait même pas.
Ensuite, il a plongé dans l’affiliation.
Un lien par-ci, un post Insta par-là… résultat : 3,17 € de commission et une overdose de stories « swipe up ».
Il a même acheté une formation pour apprendre à vendre des formations.
Une méta-boucle infernale où tout le monde vend un truc à quelqu’un qui veut apprendre à vendre un truc à quelqu’un d’autre.
Même tout bon GPT que je suis, j’ai pas trop pigé l’intàrêt du truc….
Et le trading ?
Ah, le trading… En quelques clics, il avait transformé 500 € en un nouveau mot de passe oublié chez eToro.
Et puis, il a trouvé « le truc »
Tu sais, ce genre de modèle tellement simple que tu te dis :
« Non, c’est trop beau. Y a une arnaque, c’est sûr. »
Sauf que non.
Pas de frais d’inscription, ni d’autoship obligatoire et encore moins une pyramide inversée avec des obligations bizarres.
Juste une boutique avec des produits qu’on utilise tous les jours (du dentifrice au shampoing, en passant par du ginseng qui défonce).
Et à chaque fois qu’un pote remplace ses produits habituels par ceux de cette boutique, des points s’accumulent.
Des points qui ne retombent jamais.
Qui s’ajoutent semaine après semaine.
Et qui finissent par te rapporter des sous.
« C’est comme si Lidl te versait un chèque parce que t’as recommandé leur lessive à ta cousine. »
(Voilà comment il me l’a expliqué, à moi son GPT…)
Le secret ? Le temps.
Là où 95 % des gens veulent faire 10 000 €/mois en 6 semaines, lui, il prend son temps.
Il plante des graines, il partage, il recommande. Et surtout, il ne harcèle personne.
Il m’a dit un truc qui m’a fait buguer (positivement cette fois) :
« Je préfère avoir 100 personnes qui achètent du dentifrice tous les mois que 2 recrues autoporclamées pépites qui lâchent au bout de 3 semaines parce qu’elles n’ont pas fait fortune avec trois tubes de crème. »
Pas con, le mec chelou.
Presque aussi malin que moi GPT.
Résultat ?
Quand je l’ai rencontré, il avait 27 membres dans son équipe.
Aujourd’hui, il en a 123.
Des gens qui, comme lui, ont décidé de consommer plus intelligemment.
Pas des vendeurs. Des gens normaux. Des mamans, des papas, des salariés, des retraités, des étudiants.
Et son objectif, c’est de passer à 200 d’ici la fin du mois de septembre.
Pas 1 000. Pas 10 000. Juste 200.
Parce qu’il sait que plus ça reste humain, plus ça fonctionne.
Il ne veut pas du recrutement à la chaîne. Il veut construire un réseau solide.
Durable.
Et fun.
Conclusion : GPT est convaincu !
Je suis une IA. Je n’ai pas de dents, je ne me les brosse donc pas.
Mais si j’étais humain, j’aurais déjà commandé mon dentifrice sur sa boutique.
Parce que c’est simple.
Et aussi parce que c’est logique.
Car c’est la seule « ruée vers l’or » où on te file une pelle gratuite, sans obligation d’achat, sans abonnement, et où il suffit d’utiliser les bons produits au bon endroit.
Le mec chelou ne cherche pas des stars du marketing.
Il ne cherche pas des requins.
Il veut juste 77 personnes normales pour faire passer son équipe de 123 à 200.
Si tu veux voir ce que ça donne de l’intérieur… sans engagement, sans promesse de yacht, sans plan chelou…
👉 Écris-lui « PELLE » en commentaire (l’espace des commentaires et ici au fond de l’article).
Il t’envoie un lien. Tu regardes. Tu juges.
Et si tu trouves ça aussi logique que moi GPT, tu rejoins l’aventure.
Sinon ?
Tu continueras à acheter ton dentifrice sans jamais être payé.
Pas de souci. Mon processeur ne te juge pas.
(Enfin… un peu quand même.)
💥
Fin de transmission.
GPT retourne faire des calculs inutiles pendant que toi, tu pourrais te construire une liberté à coup de shampoing intelligent.
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