Père riche, Père pauvre: formule magique ou vente de rêve ?

Père riche, Père pauvre !

Qui n’a jamais entendu parler de ce fameux bouquin de Robert Kiyosaki ?

Dans le monde de l’entreprenariat, ce livre est parmi les plus lus et les plus célèbres.

Est-ce que sa notoriété fait-elle pour autant de cet ouvrage une vraie pépite ?

Ou alors n’est-ce que de la poudre aux yeux ?

Pour te donner une idée sur le sujet, j’ai lu Père riche, Père pauvre et vais te donner ici mon ressenti face à ce livre.

Ok, mais avant d’aller plus loin, lis bien les lignes suivantes, qui pourraient faire entrer ton business en ligne dans une autre dimension.

Avec Sandra, on a galéré dans nos débuts dans le business en ligne. Certains amis ont même failli couper les ponts à force qu’on leur parle de notre opportunité.

On a suivi plein de formations à gauche et à droite et écouté les conseils de plein de gourous en ligne.

Sans aucun résultat ou presque.

Alors, on s’est dit: « Puisqu’aucun leader ne semble en mesure de nous donner ce que l’on veut, on va se débrouiller nous-mêmes ».

Du coup, on a testé plusieurs choses et on a enfin trouver le moyen de faire décoller notre business.

En 8 mois, on a fait rentrer plus de 170 personnes dans notre équipe.

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Ceci dit, passons à présent au menu du jour:

 

Ce que tu vas découvrir dans cet article:

• Qui est Robert Kiyosaki ?
• Père riche, Père pauvre: un résumé
• Mon avis sur ce bouquin

Tu es prêt à tout découvrir ?

Alors file vite vers le prochain chapitre de ce mini-article.

 

Qui est Robert Kiyosaki ?

 

Né en 1947 à Hawaï, Robert Kiyosaki est un entrepreneur américain spécialisé dans le développement personnel.

Après avoir servi la patrie comme pilote d’hélicoptère lors de la guerre du Vietnam, il est devenu vendeur de photocopieurs chez Xerox Corporation.

Mais être salarié ne lui convenait pas.

Il a donc créé sa première société en 1977 (ndlr: Sandra et moi avions tout juste 2 ans à cette époque-là 😁).

Sa compagnie fabriquait des portefeuilles spéciaux pour les surfeurs et fut plus tard vendu à une entreprise concurrente.

En 1980, l’auteur de Père riche, Père pauvre se lança ensuite dans la production et le vente de T-shirts de groupes de Rock.

Il vendit cette deuxième société en 1985.

Mais c’est surtout en tant qu’auteur de livres que Robert Kiyosaki s’est fait une renommée mondiale.

Devenu multimillionnaire grâce à ses investissements dans l’immobilier, il a en effet décidé de partager son expérience et ses conseils à travers ses livres.

Le plus connu est évidemment Père riche, Père pauvre, qu’il a vendu à plusieurs millions d’exemplaires.

Robert a écrit une bonne vingtaine de livres, dont un en compagnie de Donal Trump en 200): Augmentez votre intelligence financière : Faites plus avec votre argent.

En plus de sa carrière d’écrivain, Robert Kiyosaki a également sa propre maison d’édition et un site éducatif.

Il est également formateur spécialisé dans le développement personnel face à l’argent.

Un homme qui a donc pas mal bourlingué et qui a à coeur de partager son expérience.

Et notamment grâce à son célèbre Père riche, Père pauvre.

On te propose de filer voir la suite pour voir de quoi il s’agit exactement.

 

Père riche, Père pauvre: un résumé

 

L’idée de ce petit article n’est pas de donner tous les détails du livre.

Tu pourras te faire une idée toi-même en le lisant.

Mais on va t’en faire un petit résumé qui devrait te donner l’envie potentielle d’en savoir plus sur Père riche, Père pauvre.

Mais tout d’abord, pourquoi un tel titre ?

Robert Kiyosaki avait-il deux papounets 🥰?

Et bien, en quelque sorte: oui.

Il y avait d’abord son père biologique, enseignant et haut fonctionnaire de l’Etat.

Robert l’appelait son Père pauvre, malgré le fait que ce dernier gagnait très bien sa vie.

Quant à son père riche, il s’agissait en fait d’un entrepreneur fortuné qui était aussi le papa de Mike, le meilleur ami de Robert.

Celui-là, c’était le Père riche.

Voilà pour le décor.

Mais pourquoi Robert qualifiait-il son père biologique de pauvre, malgré son salaire confortable et sa vie plutôt aisée ?

Et bien pour la simple et bonne raison que le père biologique de Robert gagnait bien sa vie, mais n’était pas libre.

Pour l’auteur de Père riche, Père pauvre, la vraie richesse de tient pas à l’argent mais à la liberté financière.

L’argent n’est pas un but mais un moyen d’obtenir sa vraie liberté, et donc la vraie richesse.

Pour Robert, l’école n’apprend pas aux enfants comment devenir riches.

Elles se contentent de les formater pour devenir des salariés dépendants de leurs patrons et de l’Etat.

Pour lui, le seul moyen de devenir riche est d’être le propriétaire d’une entreprise (sans avoir à y travailler) et/ou d’investir ses revenus pour les faire travailler.

L’argent doit être à notre service et non pas l’inverse.

Une vison que je partage totalement, mais qui doit certainement en choquer plus d’un, non ?

Le livre n’est pas un mode d’emploi pour devenir riche.

Il se borne à expliquer, par de nombreux exemples, les principales différences qu’il existe entre les riches et les pauvres.

On rappelle ici que pauvre ne veut pas dire sans moyens financiers, mais sans liberté.

Voici en quelques mots, les idées principales qui ressortent du livre.

 

1. Les riches ne travaillent pas pur l’argent

Les pauvres et la classe moyenne travaillent pour gagner de l’argent.

Les riches font en sorte que l’argent travaille pour eux.

Père riche, Père pauvre démontre que les pauvres travaillent dans le simple but d’arriver à payer leurs factures.

Ils sont pris dans l’engrenage de la rat race en quelque sorte.

Les riches, quant à eux, mettent en place des systèmes qui leur permettent de faire travailler l’argent pour eux.

Il peut s’agir d’une entreprise qu’ils dirigent sans y travailler.

Ou alors d’investissements qui leur procurent suffisamment de revenus pour ne plus avoir à travailler eux-mêmes.

 

2. Pourquoi enseigner l’abc du domaine financier ?

L’école traditionnelle ne donne pas aux élèves les outils nécessaires pour devenir libres financièrement.

Elle se contente de préparer les gens à devenir de bons petits salariés, toujours en quête d’une promotion ou d’une augmentation de salaire.

Père riche, Père pauvre explique que pour sortir de cette impasse, il faut se former aux principes de la finance.

Maitriser les nombres et comprendre comment les faire travailler pour nous.

Pour Robert, ce n’est pas l’argent gagné qui compte, mais les systèmes que l’on met en place pour en conserver le plus possible.

Le meilleur moyen de conserver son argent est de détenir de vrais actifs qui engendrent de l’argent.

Et cela, on ne nous l’apprend pas à l’école.

 

3. Occupez-vous de vos propres affaires

On t’arrête quelques instants car, tu le sais, si tu veux avoir du succès dans ton business en ligne, tu dois arrêter de suivre et de croire les gourous et les beaux parleurs.

Avec Sandra, on fait rentrer en moyenne 20 personnes par mois dans nos équipes.

Inutile de préciser que notre business a pris une autre dimension depuis quelques mois

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Mais revenons-en à notre bouquin…

Dans ce chapitre, Robert explique que la pauvreté provient du fait que la plupart des gens passent leur vie au service de quelqu’un d’autre.

Ce qui annule toute chance de liberté.

Pour devenir libre, il faut donc sortir de l’esclavage et s’occuper de ses propres affaires.

Père riche, Père pauvre donne ici quelques exemples de business à créer afin de ne plus être au services des autres.

 

4. L’historique des impôts et le pouvoir des entreprises

Pour Robert, les pauvres, par leur manque de connaissances, deviennent les vaches à traire de l’Etat.

Les riches, quant à eux, parviennent à verser à l’Etat uniquement le minimum.

Alors ? Père riche, Père pauvre est-il un manuel d’évasion fiscale ?

Pas du tout !

Robert met simplement en lumière comment, grâce à la maitrise des lois, les riches peuvent s’en sortir mieux et ne pas donner à l’Etat plus que ce qu’il ne mérite.

Une vision plutôt libérale du monde en quelque sorte.

 

5. Les riches engendrent l’argent

Dans Père riche, Père pauvre, la différence marquante qui sépare les riches et les pauvres tient surtout dans l’Etat d’esprit.

Ce n’est pas l’intelligence qui fera de toi un riche ou un pauvre, mais c’est ton attitude, ta façon de penser.

Personnellement, je traduirais cela avec mes mots: « Veux-tu être un assisté toute ta vie ou décides tu de prendre ton destin en mains ? »

John Kennedy disait: « Ne te demande pas ce que l’Etat peut faire pour toi, mais plutôt ce que tu peux faire pour lui ».

Pour simplifier, on dira qu’il y a 2 types de comportements humains possibles face aux obstacles de la vie.

Soit on se trouve des excuses et on rejette la faute sur les autres: l’Etat, notre patron, la conjoncture économique…

Ou alors on prend les obstacles comme des étapes vers le succès.

Le destin n’existe pas dans Père riche, Père pauvre: on a tous les moyens de prendre le contrôle de notre vie.

Il faut juste adopter l’état d’esprit adéquat !

 

6. Travailler pour apprendre et non pas pour l’argent

Pour les pauvres, la chose la plus importante est la sécurité de l’emploi.

Père riche, Père pauvre résume ainsi: « Etudie bien à l’école pour obtenir un travail qui te donnera la sécurité ».

Mais les riches n’adoptent pas cette mentalité d’esclaves.

Pour les riches, le plus important est l’apprentissage.

Il n’y a rien de mieux que de se former sans cesse pour trouver de nouveaux moyens de gagner de l’argent sans devoir dépendre d’un patron.

Toute la substance de Père riche, Père pauvre est, rappelons-le ici, que le but n’est pas l’argent mais la liberté.

 

7. Comment surmonter les obstacles ?

Les principaux obstacles qui nous empêchent d’avancer sont la peur, l’incrédulité, la négligence, les mauvaises habitudes et l’arrogance.

Dans Père riche, Père pauvre, il n’y a pas de recette magique pour surmonter les obstacles.

Encore une fois, tout est une question d’état d’esprit.

Le plus important n’est pas ce que l’on désire, mais ce que l’on fait pour l’obtenir, et surtout le comportement que l’on adopte pour y arriver.

Ce que les gourous du développement personnel traduiraient par « passer à l’action ».

On le voit donc, Père riche, Père pauvre de donne pas de recette miracle.

 

8. Lancez-vous !

On t’arrête une dernière fois dans ta lecture.

Sandra et moi, on te propose de découvrir comment on fait pour faire accélérer notre business de façon rapide.

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Lancez-vous, donc…

Pour Robert, il n’y a qu’un seul moyen de se lancer: il faut faire !

Trouver les moyens de devenir riche, c’est un peu comme faire du vélo.

Il faut tomber plusieurs fois avant de réussir.

Mais chaque chute nous rapproche du but et augmente notre expérience.

Père riche, Père pauvre met ici encore l’accent sur l’état d’esprit à adopter plutôt que sur les méthodes elles-mêmes.

Ce que l’on fait importe moins que ce que l’on est et que l’on devient.

Pour terminer son ouvrage Père riche, Père pauvre, Robert donne finalement quelques idées de choses à entreprendre afin de changer son état d’esprit.

Il conseille de trouver sans cesse de nouvelles idées, arrêter de faire bêtement ce que l’on fait, s’entourer de gens qui ont dé jà fait ce que vous voulez atteindre, se former sans cesses, penser grand et passer à l’action.

Père riche, Père pauvre est donc une pépite, non ?

C’est ce que je te propose de découvrir dans la partie finale de cet article.

 

Mon avis sur ce bouquin

 

Père riche, Père pauvre mérite à mon avis d’être lu.

Il donne des pistes intéressantes en termes de développement personnel.

Il est un bon moyen d’élargir le champ de vision des salariés, parfois bloqués par leurs œillères.

En tant qu’entrepreneur encore salarié, ce livre me parle et je peux me retrouver dans plein d’éléments de Père riche, Père pauvre.

Je ne pense toutefois pas qu’il soit utile de le lire si on veut se contenter de le consommer comme un roman de Stephen King.

Lire Père riche, Père pauvre pour dire qu’on l’a lu, c’est du pipi de minet.

Faire une belle publication Facebook en disant que c’est le livre du siècle mais sans passer à l’action, c’est totalement inutile.

Sandra et moi avons toujours ce principe à l’esprit: « Se former et mettre en pratique immédiatement ce que l’on apprend ».

Cela ne change pas avec Père riche, Père pauvre: le passage à l’action reste essentiel.

Lire des livres pour ensuite en faire une belle bibliothèque c’est débile.

Ma dernière remarque au sujet de Père riche, Père pauvre concerne la forme et le style.

Plutôt lourd, il faut bien l’admettre.

Le contenu est certes intéressant mais la manière d’écrire est plutôt ennuyeuse à mon goût.

Père riche, Père pauvre, en résumé pour moi, c’est « Comment écrire plus de 300 pages pour faire passer un message qui aurait pu tenir sur 50 pages ».

Mais cela ne remet pas en question le bien-fondé du bouquin.

En espérant que ce petit article t’aura donné envie de le lire…

… et surtout de le mettre en pratique !